Elections

par le Samedi 27 Septembre 2014 à 18:42


Elections sénatoriales du 28 septembre 2014


Au delà de la présence du MRC une candidate: Francine Loubes
Dimanche 28 septembre, auront lieu les élections sénatoriales, où la moitié du Sénat sera renouvelée pour un mandat de 6 ans. En Gironde, six représentants sont à élire par les grands électeurs (maires et conseillers municipaux, députés etc.). Francine Loubes, retraitée de l'Éducation nationale et ancienne conseillère municipale (deux mandats, dont six années en tant qu'adjointe), qui depuis les dernières élections municipales a totalement cessé son implication dans la vie politique lantonaise, se présente en deuxième position sur une liste candidate à ces élections sénatoriales.
Francine Loubes fait part des raisons qui l'ont amenée à se présenter : « Le MRC (Mouvement républicain et citoyen), auquel j'adhère depuis 20 ans, m'a donné l'opportunité de rejoindre la liste de Pierre Augey, maire de Fargues de Langon et Conseiller général. C'est un homme de conviction, engagé, qui m'a donné envie de reparticiper à l'action politique. » Quant à ses motivations, la candidate précise « Je souhaite participer au rôle important du Sénat qui est de « remodeler » les lois avec une réflexion sur leur conformité juridique. »
Interrogée sur ses principaux points d'intérêt, Francine Louves répond : « La réforme territoriale, contre les grandes métropoles où les petites communes rurales ne sont plus représentées, et pour le regroupement des régions quand elles ont des points en commun, pas comme l'Aquitaine et le Limousin. Mais aussi réfléchir à l'organisation des nouveaux rythmes scolaires, à l'euro fort… etc. »
La liste est intitulée « Pour une République respectueuse de nos Territoires » .

Francine Loubes


Francine Loubes
Francine Loubes
Dans quelques jours la moitié du Sénat doit être renouvelé. Le Mouvement Républicain et Citoyen participe à cet enjeu en vous proposant dans le cadre d’une liste d’union ,un certain nombre d’idées que JP Chevènement  incarne depuis de longues années., pour une République laïque, multiculturelle, solidaire, innovante, s’appuyant sur le progrès dans tous les domaines (industriel, social, scolaire…), ainsi qu’un retour au respect des règles citoyennes indispensables.
 
Certains sujets très importants apportent de lourds problèmes tel que l’euro fort (face notamment à des monnaies notamment  le dollar plus faibles) favorisant certes nos achats mais creusant nos déficits et détruisant nos emplois (chômage conséquent et chômeurs fustigés) ;
 
 L’OTAN   actuellement est le cadre d’une pression importante des EU sur notre pays, doit-on l’accepter ?
 
 La réforme territoriale vise un redécoupage de nos régions (une pauvre, une riche ?). La solution ne se trouve-t-elle pas dans le développement de grands projets d’aménagement et de développement économique pour lequel les régions limitrophes pourraient s’associer ?
 
 L’Ecole de la République  est le lieu du savoir et de la construction de tous les enfants. C’est une des charges les plus importantes de l’Etat. Dans la dernière réforme pourtant nécessaire du Temps Scolaire, ce sont les municipalités qui en ont hérité, elles ont parfois du mal à assumer  ces nouvelles charges,  ne pouvant pas toutes assurer correctement les 3h/semaine  recommandées par le gouvernement, à l’heure ou ce dernier diminue ses dotations.
Beaucoup d’autres points peuvent ainsi être énumérés et discutés.
Un travail important de reprise en main des droits et besoins du citoyen est à faire et nous devons nous battre pour le réussir.

Programme, bulletin d'inscription et aspects pratiques de l'Université de rentrée du MRC qui se tiendra cette année à Caen (Calvados) les 19, 20 et 21 septembre. Inscrivez-vous!


samedi 17 mai 2014 Libourne

Martine Souvignet secrétaire nationale du MRC
chargée de la réforme territoriale
avec
Alain Renard conseiller général,
maire de Saint-Savin
vice-président du conseil général de la Gironde
et
Patrick Nivet conseiller municipal de Libourne


Le big bang institutionnel est il une fatalité ?
Le big bang institutionnel est il une fatalité ?
De l'impuissance économique à la fuite en avant institutionnelle … 


 
François Hollande qui a rétablit a l'automne 2012 l'élection indépendante des élus départementaux souhaite aujourd'hui la disparition des conseils généraux et une nette diminution du nombre des régions. Revirement de toute évidence provoqué par la défaite aux élections municipales de la gauche... comprenne qui pourra, tant cette question ne paraissait pas être au premier plan des raisons de l'échec électoral ??? 

Bien sur le rapport Balladur de 2009 allait dans ce sens mais Mme Lebranchu en 2012 revint sur ce mouvement en proposant de garder chaque étage institutionnel et la compétence générale de chacun mais en faisant émerger la notion de" chefs de file" soit de pilotage préférentiel selon les compétences attribuées aux uns et aux autres. 

La transformation des Communautés urbaines en métropoles paraissant elle, actées. Lyon  en est aujourd'hui le modèle en cours d'expérimentation. 

A l'initiative de Patrick Nivet conseiller municipal à Libourne, Martine Souvignet et Alain Renard revinrent sur l'intérêt d'une gestion de proximité des principales compétences du département (Action sociale, entretien des infrastructures, collèges..) 

La péréquation départementale entre les zones qui créent la richesse souvent urbaines et rurales plus isolées leur paraissant menacée si les projets en cours allaient en l'état à leur terme. 

L'exemple de Lyon ou ce qui restera du département après la création de la métropole sera réduit à la portion congrue au point de faire évoquer sa fusion avec un département voisin, ne parait guère pouvoir permettre de compenser  en Gironde une éventuelle métropole Bordelaise. 

Unir le Langonais avec les landes, La Haute Gironde avec les Charentes , le Libournais avec le sud  Dordogne ne leur apportera que peu de choses. Quand au médoc il n'a que l'océan comme vis a vis ???? 

Découper de plus grandes régions avec plus de pouvoirs financiers, plus d'autonomie fiscale, ne va t'il pas mettre à mal l'unité nationale avec son corollaire l'égalité Républicaine ? Ces créations, ces éventuelles fusions seront elles vraiment sources d'économies ? Sauf bien sur, à remettre en cause leurs attributions, moins de social , des routes moins entretenues,  des collèges ou des lycées laissés peu ou prou à l'abandon ...des CHU remis en cause ou des universités rassemblées sur un seul site régional..... Ce qui est peut être le non dit sous jacent d'une politique d'austérité qui ne dit pas son nom. 

Certaines  régions Espagnoles et Allemandes aux budgets souvent largement déficitaires ne constituent guère de bons exemples comparés à ceux de nos collectivités locales par obligation légale, équilibrés. 

Supprimer quelques milliers d'élus mais garder les compétences et les centaines de milliers de fonctionnaires qui y sont affectés ne diminuera guère  les couts mais augmentera la distance entre les gens et les administrations chargées de les prendre en charge. 
En quoi sera t'il plus simple de s'adresser aux guichets d'une grande région que d'un département à taille humaine? 

Par contre tant pour Martine Souvignet que pour Alain Renard une meilleure adéquation des compétences aux différents étages institutionnels parait indispensable. Ainsi, pourquoi l'approche de la pauvreté (RSA) doit elle se faire à la fois par l'intervention du conseil général (MDSI) et des CCAS communaux ou intercommunaux ? 

La compétence générale tant décriée a pourtant de formidables avantages. Elle a permis en Gironde au Conseil général d'aider les commune rurales à financer par exemple  leurs écoles primaires, l'agglomération du Libournais les travaux de la ligne TGV en échange du maintient de lignes directes passant par Libourne... 

 Cette compétence permet a chaque institution de choisir ses priorités. C'est ainsi que le conseil général de la Gironde laissa le conseil régional d'Aquitaine, la municipalité de Bordeaux et la CUB seuls avec M6 pour l'opération grand stade de Bordeaux..... 

Au bout du compte tenir compte d'évolutions plus ou moins inévitables comme l'urbanisation de notre pays demande quand même beaucoup de prudence si nous ne voulons pas emporter le bébé avec l'eau du bain. A savoir un développement équilibré du territoire reposant sur des activités, certes touristiques mais aussi agricoles et nécessairement industrielles. 

L'intercommunalité doit être une aide et un prolongement pour les  communes et pas l'occasion de leur disparition forcée, tant elles permettent et demandent la mobilisation d'un tissu humain peu couteux, de bonne volonté et de grande qualité. 
Il en est de même des cantons et des départements qui permettent de soigner au plus prés, les plaies de nos populations et de préparer l'avenir de nos villages. La question Européenne fut évidemment évoquée. Beaucoup ont fait  le lien, notamment parmi nos invités (M’PEP,’POI, Debout la République) entre les évolutions institutionnelles proposées en France et celles qui sont promotionnées  par les défenseurs d'une architecture européenne lourde et éloignée des préoccupations de nos contrées.
 
Patrick Nivet 
Conseiller municipal MRC de Libourne.

Martine Souvignet
Secrétaire Nationale du MRC chargée de la réforme territoriale
et
Alain Renard
Conseiller général de la Gironde, vice Président du conseil général
avec
Patrick Nivet
Conseiller municipal de Libourne


MRC Libourne /Sainte Foy la grande
 
                            Elections européennes, réformes territoriales : Le big bang institutionnel est il une fatalité ?
 
Manuel Valls prône la suppression des départements et la diminution du nombre des régions
 
Que faut-il en penser ?
 
Les départements existent depuis l’avènement de la République, leur rôle a changé notamment avec la réforme Defferre en 1982.
 
Cette dernière a crée nos 23 Régions, responsabilisé les territoires en leur attribuant un rôle exécutif et des transferts de compétences.
 
Nous gardons  (malgré des fusions que rien n’empêche) 36000 communes dont beaucoup sont petites, leur taille a été compensée par le développement de structures intercommunales qui aujourd’hui couvrent l’ensemble du territoire (communautés urbaines, agglomérations, communautés de communes…)
 
Dans l’ensemble cet écheveau est un succès même s’il finit par être compliqué et pas toujours bien lu par les citoyens
 
Pour autant faut-il en bousculer l’équilibre ?
 
Coute t’il si cher ?
 
A l’heure ou l’Europe qui ajoute son  lourd et couteux étage institutionnel  nous demande de réduire nos déficits par une politique récessive, devons nous nous résigner ?
 
Ne faut-il pas au contraire mieux répartir les compétences de ces différents échelons et pourquoi pas garder la compétence dite générale de chacune d’entre elle?
 
Débat avec
 
Martine Souvignet Secrétaire Nationale du MRC chargée de la réforme territoriale
                                                                    Et
Alain Renard Conseiller général de la Gironde, vice Président du conseil général
 
samedi 17 mai
16 heures à 19 heures
Salle des fêtes de Libourne
Place Abel Surchamp
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MRC - Fédération de Gironde
Email : mrc-gironde@laposte.net





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