Les trois députés du Mouvement Républicain et Citoyen voteront le projet de loi de réforme ferroviaire. Depuis 1997, la SNCF, RFF, leurs salariés et les usagers ont payé les conditions d’une séparation faite à la va-vite pour cacher la dette ferroviaire des yeux de Bruxelles.
Le projet de loi remet le système d’aplomb avec un véritable opérateur de réseau et une compagnie ferroviaire, séparés mais réunis dans un groupe public puissant.
Le projet de loi nous met en conformité avec le droit européen mais laisse peu de place en pratique aux futurs concurrents. La création d’une convention collective du ferroviaire assure d’ailleurs que la concurrence ne pourra se faire par le moins disant-social. Avec un secrétaire d’Etat aux transports à l’écoute, la discussion parlementaire a permis de renforcer l’intégration économique et sociale du groupe qui constitue la Nouvelle SNCF.
Malgré cela, la question de la dette ferroviaire reste devant nous. Le débat parlementaire et la grève des salariés de la SNCF ont permis une prise de conscience de cet enjeu qui reste suspendu, comme une épée de Damoclès au-dessus de la réforme.
Le projet de loi remet le système d’aplomb avec un véritable opérateur de réseau et une compagnie ferroviaire, séparés mais réunis dans un groupe public puissant.
Le projet de loi nous met en conformité avec le droit européen mais laisse peu de place en pratique aux futurs concurrents. La création d’une convention collective du ferroviaire assure d’ailleurs que la concurrence ne pourra se faire par le moins disant-social. Avec un secrétaire d’Etat aux transports à l’écoute, la discussion parlementaire a permis de renforcer l’intégration économique et sociale du groupe qui constitue la Nouvelle SNCF.
Malgré cela, la question de la dette ferroviaire reste devant nous. Le débat parlementaire et la grève des salariés de la SNCF ont permis une prise de conscience de cet enjeu qui reste suspendu, comme une épée de Damoclès au-dessus de la réforme.