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par MRC-Gironde le Vendredi 23 Mai 2014 à 09:45
				 Mots-clés : 
				 Conseil général gironde réforme territoriale Alain Renard Martine Souvignet Patrick Nivet 
			 
			 
				 samedi 17 mai 2014 Libourne
				 
				 
				 
				 Martine Souvignet secrétaire nationale du MRC 
				 
				 chargée de la réforme territoriale
				 
				 avec
				 
				 Alain Renard conseiller général,
				 
				 maire de Saint-Savin
				 
				 vice-président du conseil général de la Gironde
				 
				 et
				 
				 Patrick Nivet conseiller municipal  de Libourne
			 
			 
						 De l'impuissance économique à la fuite en avant institutionnelle … 
 
    
François Hollande qui a rétablit a l'automne 2012 l'élection indépendante des élus départementaux souhaite aujourd'hui la disparition des conseils généraux et une nette diminution du nombre des régions. Revirement de toute évidence provoqué par la défaite aux élections municipales de la gauche... comprenne qui pourra, tant cette question ne paraissait pas être au premier plan des raisons de l'échec électoral ??? Bien sur le rapport Balladur de 2009 allait dans ce sens mais Mme Lebranchu en 2012 revint sur ce mouvement en proposant de garder chaque étage institutionnel et la compétence générale de chacun mais en faisant émerger la notion de" chefs de file" soit de pilotage préférentiel selon les compétences attribuées aux uns et aux autres. La transformation des Communautés urbaines en métropoles paraissant elle, actées. Lyon en est aujourd'hui le modèle en cours d'expérimentation. A l'initiative de Patrick Nivet conseiller municipal à Libourne, Martine Souvignet et Alain Renard revinrent sur l'intérêt d'une gestion de proximité des principales compétences du département (Action sociale, entretien des infrastructures, collèges..) La péréquation départementale entre les zones qui créent la richesse souvent urbaines et rurales plus isolées leur paraissant menacée si les projets en cours allaient en l'état à leur terme. L'exemple de Lyon ou ce qui restera du département après la création de la métropole sera réduit à la portion congrue au point de faire évoquer sa fusion avec un département voisin, ne parait guère pouvoir permettre de compenser en Gironde une éventuelle métropole Bordelaise. Unir le Langonais avec les landes, La Haute Gironde avec les Charentes , le Libournais avec le sud Dordogne ne leur apportera que peu de choses. Quand au médoc il n'a que l'océan comme vis a vis ???? Découper de plus grandes régions avec plus de pouvoirs financiers, plus d'autonomie fiscale, ne va t'il pas mettre à mal l'unité nationale avec son corollaire l'égalité Républicaine ? Ces créations, ces éventuelles fusions seront elles vraiment sources d'économies ? Sauf bien sur, à remettre en cause leurs attributions, moins de social , des routes moins entretenues, des collèges ou des lycées laissés peu ou prou à l'abandon ...des CHU remis en cause ou des universités rassemblées sur un seul site régional..... Ce qui est peut être le non dit sous jacent d'une politique d'austérité qui ne dit pas son nom. Certaines régions Espagnoles et Allemandes aux budgets souvent largement déficitaires ne constituent guère de bons exemples comparés à ceux de nos collectivités locales par obligation légale, équilibrés. Supprimer quelques milliers d'élus mais garder les compétences et les centaines de milliers de fonctionnaires qui y sont affectés ne diminuera guère les couts mais augmentera la distance entre les gens et les administrations chargées de les prendre en charge. En quoi sera t'il plus simple de s'adresser aux guichets d'une grande région que d'un département à taille humaine? Par contre tant pour Martine Souvignet que pour Alain Renard une meilleure adéquation des compétences aux différents étages institutionnels parait indispensable. Ainsi, pourquoi l'approche de la pauvreté (RSA) doit elle se faire à la fois par l'intervention du conseil général (MDSI) et des CCAS communaux ou intercommunaux ? La compétence générale tant décriée a pourtant de formidables avantages. Elle a permis en Gironde au Conseil général d'aider les commune rurales à financer par exemple leurs écoles primaires, l'agglomération du Libournais les travaux de la ligne TGV en échange du maintient de lignes directes passant par Libourne... Cette compétence permet a chaque institution de choisir ses priorités. C'est ainsi que le conseil général de la Gironde laissa le conseil régional d'Aquitaine, la municipalité de Bordeaux et la CUB seuls avec M6 pour l'opération grand stade de Bordeaux..... Au bout du compte tenir compte d'évolutions plus ou moins inévitables comme l'urbanisation de notre pays demande quand même beaucoup de prudence si nous ne voulons pas emporter le bébé avec l'eau du bain. A savoir un développement équilibré du territoire reposant sur des activités, certes touristiques mais aussi agricoles et nécessairement industrielles. L'intercommunalité doit être une aide et un prolongement pour les communes et pas l'occasion de leur disparition forcée, tant elles permettent et demandent la mobilisation d'un tissu humain peu couteux, de bonne volonté et de grande qualité. Il en est de même des cantons et des départements qui permettent de soigner au plus prés, les plaies de nos populations et de préparer l'avenir de nos villages. La question Européenne fut évidemment évoquée. Beaucoup ont fait le lien, notamment parmi nos invités (M’PEP,’POI, Debout la République) entre les évolutions institutionnelles proposées en France et celles qui sont promotionnées par les défenseurs d'une architecture européenne lourde et éloignée des préoccupations de nos contrées.
    
Patrick Nivet Conseiller municipal MRC de Libourne.
  
					 
				 François Hollande qui a rétablit a l'automne 2012 l'élection indépendante des élus départementaux souhaite aujourd'hui la disparition des conseils généraux et une nette diminution du nombre des régions. Revirement de toute évidence provoqué par la défaite aux élections municipales de la gauche... comprenne qui pourra, tant cette question ne paraissait pas être au premier plan des raisons de l'échec électoral ??? Bien sur le rapport Balladur de 2009 allait dans ce sens mais Mme Lebranchu en 2012 revint sur ce mouvement en proposant de garder chaque étage institutionnel et la compétence générale de chacun mais en faisant émerger la notion de" chefs de file" soit de pilotage préférentiel selon les compétences attribuées aux uns et aux autres. La transformation des Communautés urbaines en métropoles paraissant elle, actées. Lyon en est aujourd'hui le modèle en cours d'expérimentation. A l'initiative de Patrick Nivet conseiller municipal à Libourne, Martine Souvignet et Alain Renard revinrent sur l'intérêt d'une gestion de proximité des principales compétences du département (Action sociale, entretien des infrastructures, collèges..) La péréquation départementale entre les zones qui créent la richesse souvent urbaines et rurales plus isolées leur paraissant menacée si les projets en cours allaient en l'état à leur terme. L'exemple de Lyon ou ce qui restera du département après la création de la métropole sera réduit à la portion congrue au point de faire évoquer sa fusion avec un département voisin, ne parait guère pouvoir permettre de compenser en Gironde une éventuelle métropole Bordelaise. Unir le Langonais avec les landes, La Haute Gironde avec les Charentes , le Libournais avec le sud Dordogne ne leur apportera que peu de choses. Quand au médoc il n'a que l'océan comme vis a vis ???? Découper de plus grandes régions avec plus de pouvoirs financiers, plus d'autonomie fiscale, ne va t'il pas mettre à mal l'unité nationale avec son corollaire l'égalité Républicaine ? Ces créations, ces éventuelles fusions seront elles vraiment sources d'économies ? Sauf bien sur, à remettre en cause leurs attributions, moins de social , des routes moins entretenues, des collèges ou des lycées laissés peu ou prou à l'abandon ...des CHU remis en cause ou des universités rassemblées sur un seul site régional..... Ce qui est peut être le non dit sous jacent d'une politique d'austérité qui ne dit pas son nom. Certaines régions Espagnoles et Allemandes aux budgets souvent largement déficitaires ne constituent guère de bons exemples comparés à ceux de nos collectivités locales par obligation légale, équilibrés. Supprimer quelques milliers d'élus mais garder les compétences et les centaines de milliers de fonctionnaires qui y sont affectés ne diminuera guère les couts mais augmentera la distance entre les gens et les administrations chargées de les prendre en charge. En quoi sera t'il plus simple de s'adresser aux guichets d'une grande région que d'un département à taille humaine? Par contre tant pour Martine Souvignet que pour Alain Renard une meilleure adéquation des compétences aux différents étages institutionnels parait indispensable. Ainsi, pourquoi l'approche de la pauvreté (RSA) doit elle se faire à la fois par l'intervention du conseil général (MDSI) et des CCAS communaux ou intercommunaux ? La compétence générale tant décriée a pourtant de formidables avantages. Elle a permis en Gironde au Conseil général d'aider les commune rurales à financer par exemple leurs écoles primaires, l'agglomération du Libournais les travaux de la ligne TGV en échange du maintient de lignes directes passant par Libourne... Cette compétence permet a chaque institution de choisir ses priorités. C'est ainsi que le conseil général de la Gironde laissa le conseil régional d'Aquitaine, la municipalité de Bordeaux et la CUB seuls avec M6 pour l'opération grand stade de Bordeaux..... Au bout du compte tenir compte d'évolutions plus ou moins inévitables comme l'urbanisation de notre pays demande quand même beaucoup de prudence si nous ne voulons pas emporter le bébé avec l'eau du bain. A savoir un développement équilibré du territoire reposant sur des activités, certes touristiques mais aussi agricoles et nécessairement industrielles. L'intercommunalité doit être une aide et un prolongement pour les communes et pas l'occasion de leur disparition forcée, tant elles permettent et demandent la mobilisation d'un tissu humain peu couteux, de bonne volonté et de grande qualité. Il en est de même des cantons et des départements qui permettent de soigner au plus prés, les plaies de nos populations et de préparer l'avenir de nos villages. La question Européenne fut évidemment évoquée. Beaucoup ont fait le lien, notamment parmi nos invités (M’PEP,’POI, Debout la République) entre les évolutions institutionnelles proposées en France et celles qui sont promotionnées par les défenseurs d'une architecture européenne lourde et éloignée des préoccupations de nos contrées.
Patrick Nivet Conseiller municipal MRC de Libourne.
				 
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						 Rencontre MRC Gironde 
   
Cette rencontre fut l’occasion pour le président du parti chevènementiste de rappeler la position de son mouvement à propos de l’Europe, et d’afficher ses ambitions pour les prochaines municipales. Pour le président Jean-Luc Laurent, le MRC, qui a soutenu la candidature de François Hollande dès le premier tour de la présidentielle, a toute sa place dans les listes de la majorité présidentielle, y compris dans certains cas en tête de liste, comme ce sera peut-être le cas de Sylvie Schwarz à Guîtres. Ce qui n’exclut pas des alliances avec le Front de Gauche dans certains endroits.
Le MRC girondin a déjà engagé des discussions avec ses alliés dans de nombreuses villes du département (Bassin d’Arcachon et Libournais par exemple), mais Jean-Luc Laurent a relevé que rien n’est acté pour l’instant sur la Communauté Urbaine de Bordeaux où les chevènementistes girondins souhaitent obtenir au moins un conseiller communautaire.
Olivier Amiel, élu MRC de Perpignan et coordinateur pour la campagne des européennes dans la circonscription Grand Sud-Ouest, était présent.
  
					 
				 Cette rencontre fut l’occasion pour le président du parti chevènementiste de rappeler la position de son mouvement à propos de l’Europe, et d’afficher ses ambitions pour les prochaines municipales. Pour le président Jean-Luc Laurent, le MRC, qui a soutenu la candidature de François Hollande dès le premier tour de la présidentielle, a toute sa place dans les listes de la majorité présidentielle, y compris dans certains cas en tête de liste, comme ce sera peut-être le cas de Sylvie Schwarz à Guîtres. Ce qui n’exclut pas des alliances avec le Front de Gauche dans certains endroits.
Le MRC girondin a déjà engagé des discussions avec ses alliés dans de nombreuses villes du département (Bassin d’Arcachon et Libournais par exemple), mais Jean-Luc Laurent a relevé que rien n’est acté pour l’instant sur la Communauté Urbaine de Bordeaux où les chevènementistes girondins souhaitent obtenir au moins un conseiller communautaire.
Olivier Amiel, élu MRC de Perpignan et coordinateur pour la campagne des européennes dans la circonscription Grand Sud-Ouest, était présent.
						  Table ronde Pour une autre Europe 
28 septembre 2013 Libourne
    
    
Sortir de L'Euro ?
    
Mais comment ? c'est à cette question que se sont attelés Jacques Nikonoff et Bruno Moschetto invités par Patrick Nivet et le comité MRC de Libourne /Ste Foy la Grande devant une bonne cinquantaine de personnes.
    
Le constat de la crise sans fin de la Zone Euro n'est plus a faire: déficits des comptes des états, chômage récurent, recul social, les deux intervenants n'eurent aucune peine à se rejoindre.
    
Pour ce qui concerne les solutions Jacques Nikonoff prêche pour une sortie sans plus attendre de l'union européenne et de l'euro avec son corollaire selon lui nécessaire : nationalisation des banques, retour de la banque de France, suppression de la bourse...
    
Evidemment, Bruno Moschetto (délégué à l'économie du MRC), même s'il n'y croit guère, se contenterait d'une gouvernance européenne orientée (enfin!) d'abord vers l'emploi, et pas seulement contre l'inflation, avec comme instrument principal la fin de l'autonomie de la banque centrale européenne..
    
Les deux intervenants se satisferaient du retour à une monnaie simplement commune servant de référence fixe aux monnaies nationales .L'objectif étant de limiter par les parités monétaires adaptées à chaque économie nationale le recours aux seuls paramètres aujourd'hui utilisés (salaires, niveau social, moindres préoccupations environnementales) pour défendre la compétitivité des économies Européennes.
    
En cas d'éclatement de la Zone Euro souhaitable pour Jacques Nikonoff, inéluctable pour Bruno Moschetto, ce dernier propose de garder le mot euro devant le patronyme monétaire national (Euros francs, euros marks ...)
    
Quand aux inconvénients rappelés par Patrick Nivet (coût des dettes, inflation des produits importés...) ils furent discutés et finalement minimisés par les deux orateurs .Notre dette est essentiellement le fait de résidents pour qui le changement de monnaie serait totalement indolore. Quand à L'inflation à condition d’être maîtrisée elle permettrait au contraire de relancer des économies atones...
    
Jacques Nikonoff ne craindrait pas de mettre les dettes externes entre parenthèse ...un temps ?
    
L'Euro un outil pour la paix ? Jacques Nikonoff et Bruno Moschetto joignirent leurs remarques pour en douter .... Jacques Nikonoff soulignant la nécessité d'échanges mondiaux plus équilibrés détachés de la "concurrence libre et non faussée" règle d'or de la pensée euro libérale. Il évoqua la méconnue Charte de la Havane (1948)....
    
Au bout du compte toute évolution de la politique économique, sauf à subir les événements, demande selon Patrick Nivet de travailler les consensus tant à l'étage national qu'européen en menant notamment avec nos partenaires allemands un débat nécessaire qui évite le chausse-trappe du repliement communautaire sur fond de relents racistes que nous proposent les partis d'extrême droite.
  
					 
				 28 septembre 2013 Libourne
Sortir de L'Euro ?
Mais comment ? c'est à cette question que se sont attelés Jacques Nikonoff et Bruno Moschetto invités par Patrick Nivet et le comité MRC de Libourne /Ste Foy la Grande devant une bonne cinquantaine de personnes.
Le constat de la crise sans fin de la Zone Euro n'est plus a faire: déficits des comptes des états, chômage récurent, recul social, les deux intervenants n'eurent aucune peine à se rejoindre.
Pour ce qui concerne les solutions Jacques Nikonoff prêche pour une sortie sans plus attendre de l'union européenne et de l'euro avec son corollaire selon lui nécessaire : nationalisation des banques, retour de la banque de France, suppression de la bourse...
Evidemment, Bruno Moschetto (délégué à l'économie du MRC), même s'il n'y croit guère, se contenterait d'une gouvernance européenne orientée (enfin!) d'abord vers l'emploi, et pas seulement contre l'inflation, avec comme instrument principal la fin de l'autonomie de la banque centrale européenne..
Les deux intervenants se satisferaient du retour à une monnaie simplement commune servant de référence fixe aux monnaies nationales .L'objectif étant de limiter par les parités monétaires adaptées à chaque économie nationale le recours aux seuls paramètres aujourd'hui utilisés (salaires, niveau social, moindres préoccupations environnementales) pour défendre la compétitivité des économies Européennes.
En cas d'éclatement de la Zone Euro souhaitable pour Jacques Nikonoff, inéluctable pour Bruno Moschetto, ce dernier propose de garder le mot euro devant le patronyme monétaire national (Euros francs, euros marks ...)
Quand aux inconvénients rappelés par Patrick Nivet (coût des dettes, inflation des produits importés...) ils furent discutés et finalement minimisés par les deux orateurs .Notre dette est essentiellement le fait de résidents pour qui le changement de monnaie serait totalement indolore. Quand à L'inflation à condition d’être maîtrisée elle permettrait au contraire de relancer des économies atones...
Jacques Nikonoff ne craindrait pas de mettre les dettes externes entre parenthèse ...un temps ?
L'Euro un outil pour la paix ? Jacques Nikonoff et Bruno Moschetto joignirent leurs remarques pour en douter .... Jacques Nikonoff soulignant la nécessité d'échanges mondiaux plus équilibrés détachés de la "concurrence libre et non faussée" règle d'or de la pensée euro libérale. Il évoqua la méconnue Charte de la Havane (1948)....
Au bout du compte toute évolution de la politique économique, sauf à subir les événements, demande selon Patrick Nivet de travailler les consensus tant à l'étage national qu'européen en menant notamment avec nos partenaires allemands un débat nécessaire qui évite le chausse-trappe du repliement communautaire sur fond de relents racistes que nous proposent les partis d'extrême droite.
Sylvie Schwarz, présidente de l'Association Citoyenne du canton de Guîtres porte parole départementale du MRC Mouvement républicain et citoyen en Gironde, et le 1er secrétaire Jean-Philippe Lefranc, ont reçu une invitée de marque pour une conférence-débat sur l'Acte III de la décentralisation à Saint-Denis-de-Pile.
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