Suffisamment de jours sont passés pour permettre une expression politique sereine, clairvoyante et ferme sur les agressions sexuelles de masse perpétrées à Cologne lors de la nuit de la Saint-Sylvestre, mais aussi dans beaucoup d’autres villes européennes accueillant des migrants majoritairement, mais non exclusivement, syriens.
Le MRC formule une condamnation ferme de ces agressions sexuelles de masse, coordonnées et préméditées. L’impéritie des services de police, l’aveuglement volontaire des autorités politiques, le silence coupable de mouvements féministes et politiques sont tout autant condamnables.
Le MRC en appelle à une analyse lucide de la situation :
- La distribution sexuelle des migrants est problématique : la majorité de ceux-ci sont des jeunes hommes sans structure familiale.
-L’écart de culture et de mœurs est béant entre ces migrants des pays arabes islamiques et les pays européens, notamment en ce qui concerne la femme, ses droits, sa liberté.
-L’accueil généreux et fraternel des européens ne dispense pas de nommer ces actes pour ce qu’ils sont : des agressions sexuelles de prédateurs organisés, ni d’en désigner les auteurs : des migrants récemment arrivés.
Cette lucidité seule permet de rétablir les victimes dans leur dignité et d’anticiper les troubles à l’ordre public, les délits ou les crimes pouvant advenir si ces actes restaient impunis et si les autorités politiques se refusaient à assumer leurs responsabilités.
Les flux migratoires doivent être maitrisés dans le volume et la distribution (sexe et âge). La volonté de Mme Merkel de se constituer une main d’œuvre jeune à moindre frais lui revient comme un boomerang. Accueillir des familles plus en danger parce que plus exposées, et plus stables, s’avère plus pertinent à long terme.
Recevoir n’est pas accueillir : il faut éduquer les nouveaux venus aux lois et aux mœurs européennes. Et réaffirmer nos valeurs. Ce n’est pas aux femmes ni aux sociétés européennes d’abaisser leurs standards. C’est aux nouveaux venus d’accepter les règles des sociétés dans lesquelles ils veulent vivre. Ces jeunes migrants restent dans la hiérarchie véhiculée par l’Islam traditionnel: la femme qui sort ne mérite pas de respect.
Ces agressions, gravissimes, ne sont pas un épiphénomène mais le prologue probable à une fracture qui pourrait advenir si les autorités politiques ne prennent pas leurs responsabilités et s’ils ne défendent pas fermement notre modèle de société de pluralisme, de respect et d’égalité entre les hommes et les femmes.
F BOUDJAHLAT
Secrétaire Nationale du MRC à l’Education
Le MRC formule une condamnation ferme de ces agressions sexuelles de masse, coordonnées et préméditées. L’impéritie des services de police, l’aveuglement volontaire des autorités politiques, le silence coupable de mouvements féministes et politiques sont tout autant condamnables.
Le MRC en appelle à une analyse lucide de la situation :
- La distribution sexuelle des migrants est problématique : la majorité de ceux-ci sont des jeunes hommes sans structure familiale.
-L’écart de culture et de mœurs est béant entre ces migrants des pays arabes islamiques et les pays européens, notamment en ce qui concerne la femme, ses droits, sa liberté.
-L’accueil généreux et fraternel des européens ne dispense pas de nommer ces actes pour ce qu’ils sont : des agressions sexuelles de prédateurs organisés, ni d’en désigner les auteurs : des migrants récemment arrivés.
Cette lucidité seule permet de rétablir les victimes dans leur dignité et d’anticiper les troubles à l’ordre public, les délits ou les crimes pouvant advenir si ces actes restaient impunis et si les autorités politiques se refusaient à assumer leurs responsabilités.
Les flux migratoires doivent être maitrisés dans le volume et la distribution (sexe et âge). La volonté de Mme Merkel de se constituer une main d’œuvre jeune à moindre frais lui revient comme un boomerang. Accueillir des familles plus en danger parce que plus exposées, et plus stables, s’avère plus pertinent à long terme.
Recevoir n’est pas accueillir : il faut éduquer les nouveaux venus aux lois et aux mœurs européennes. Et réaffirmer nos valeurs. Ce n’est pas aux femmes ni aux sociétés européennes d’abaisser leurs standards. C’est aux nouveaux venus d’accepter les règles des sociétés dans lesquelles ils veulent vivre. Ces jeunes migrants restent dans la hiérarchie véhiculée par l’Islam traditionnel: la femme qui sort ne mérite pas de respect.
Ces agressions, gravissimes, ne sont pas un épiphénomène mais le prologue probable à une fracture qui pourrait advenir si les autorités politiques ne prennent pas leurs responsabilités et s’ils ne défendent pas fermement notre modèle de société de pluralisme, de respect et d’égalité entre les hommes et les femmes.
F BOUDJAHLAT
Secrétaire Nationale du MRC à l’Education
