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I Publié le Mardi 29 Octobre 2019 par Mouvement Républicain et Citoyen


Communiqué de Jean-Luc Laurent, président du MRC, le 26 octobre 2019


Je soutiens le mouvement national des hôpitaux publics et services d’urgence confrontés à des suppressions d’emplois, aux fermetures de lits d’hospitalisation et le comble : lorsque des emplois sont ouverts, ils ne sont pas pourvus !
Depuis le printemps dernier, les services d’urgences sonnent l’alarme comme à l’hôpital Bicêtre et ne sont pas entendus. Les annonces du gouvernement ne sont que des rustines. De nouvelles restrictions budgétaires sont prévues avec le projet de loi de financement de la sécurité sociale en cours d’examen au parlement.
Ancien président de la commission de surveillance des Hôpitaux Universitaires Paris Sud de l’APHP, et Conseiller municipal du Kremlin-Bicêtre, j’alerte depuis des années sur la dégradation des moyens de fonctionnement de l’hôpital public et des services d’urgences, et sur la dégradation des conditions de travail des personnels hospitaliers. Des recrutements sont nécessaires et les salaires doivent être revalorisés. Cette politique de réduction de la dépense publique et des services publics est devenue totalement insupportable et met en cause la capacité des hôpitaux publics à mener à bien leur mission de soins et de la conduire en sécurité.
Je suis solidaire des personnels des services d’urgence rassemblés dans le collectif Inter urgences. Connaissant tout particulièrement l’hôpital Bicêtre et son service d’urgence, je connais les difficultés pour assurer un accueil de qualité des patients et je leur adresse à nouveau mon soutien.
Je signe naturellement cette pétition adressée avec la lettre ouverte au Président de la République. Je vous appelle à la signer en cliquant ici.

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I Publié le Mardi 17 Septembre 2019 par Mouvement Républicain et Citoyen


Billet de Jean-Luc Laurent, président du MRC, le 17 septembre 2019


Les nouvelles annonces du gouvernement en réponse à la grève des urgences qui dure depuis six mois et concernent maintenant 250 services d'urgence à travers toute la France, ont été rejetées par les personnels soignants. C'est un flop.


La ministre a écarté la revalorisation des salaires et l'ouverture de nouveaux lits. Le collectif Inter-Urgences a voté la poursuite du mouvement car il considère que "le plan, c'est du flan". Le plan d'Agnès Buzyn reste dans la logique comptable que nous connaissons depuis des années et n'apporte pas de solutions immédiates aux difficultés des services des urgences. Il ne propose pas non plus une perspective d'avenir pour l'hôpital public et les services d'urgence.

Le plan du gouvernement qui est présenté comme un pacte de refondation, n'en n'est pas un. Il s'étale jusqu'à 2024 et comprend des mesures comme le nouveau service d'accès aux soins en unifiant les numéros d'appels. C'est intéressant mais déjà annoncé dans le passé et difficile à mettre en place. Au-delà, le financement avancé est surtout constitué de redéploiements budgétaires. 630 millions d'euros sur les 750 millions annoncés concernent "des renforts en ville, comme à l'hôpital, de médecins et de soignants" alors qu'il faut surtout des créations de postes et des ouvertures de lits pour accueillir les patients dans de bonnes conditions et en particulier les personnes âgées qui doivent trop souvent patienter aux urgences faute de lits en nombre suffisant.

Par ailleurs, les annonces sur les maisons médicales de garde, qui sont utiles pour réduire la charge qui pèse les urgences, ne sont que la reprise des annonces précédentes et sont à l'évidence insuffisantes.

Une autre politique est nécessaire. Il faut d'abord rompre avec la logique comptable et la baisse de la dépense publique qui ont abouti à une diminution importante de la protection sociale et des moyens pour le fonctionnement de l'hôpital public. On ne peut améliorer la situation des services d'urgence à moyens identiques et il est temps de revaloriser les métiers de la santé.

Au Kremlin-Bicêtre, l'hôpital manque de personnels et les postes vacants restent non pourvus en raison des niveaux de salaires proposés. Cette situation aboutit à fermer des lits d'hospitalisation et à réduire l'accueil de patients. C'est une aberration totale. Une manifestation avait lieu à Paris le 11 septembre 2019 pour protester contre les mesures annoncées par le gouvernement qui sont considérées comme totalement insuffisantes. Je m'y suis rendu pour apporter, à nouveau, mon soutien aux personnels médicaux et soignants.

Vous aussi, soutenez leur action pour une santé de qualité et signez la pétition du collectif Inter-Urgence en cliquant sur ce lien 

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I Publié le Vendredi 31 Mai 2019 par Mouvement Républicain et Citoyen


Tribune de Bastien Faudot, Emmanuel Maurel, Jean-Luc Laurent et Marie-Noëlle Lienemann


Le Président porte une lourde responsabilité dans la casse sociale et technologique en cours à Belfort. Il a désormais le devoir d’agir pour empêcher la poursuite du démantèlement.

L’ultime épisode du sinistre feuilleton « Alstom – General Electric » est désormais connu : en annonçant mardi 28 mai la suppression de 1050 emplois, pour l’essentiel dans l’entité Gaz de GE, la direction du groupe a confirmé ce que l’intersyndicale du site belfortain redoutait depuis des mois. C’est, pour l’un des principaux bassins industriels français, un séisme d’une ampleur sans précédent, car à ce millier d’emplois, s’ajoute en réalité 750 suppressions de postes qui ont déjà cours, en catimini, notamment dans la sous-traitance interne. Si l’on y ajoute l’ensemble des emplois induits*, c’est au bas mot, 7 à 8.000 familles qui subiront les effets de la restructuration de General Electric, qui signifie en fait une délocalisation massive de la production.

Ce carnage au plan social s’ajoute au gâchis technologique et industriel : la suppression d’activité va demain engendrer une perte de savoir-faire et de métiers pour lesquels la puissance publique a investi en formations, en infrastructures, en recherche. Ce sont des centaines et des centaines d’ingénieurs ou d’ouvriers qualifiés qui vont demain être privés d’emplois, qui vont devoir engager une reconversion, ou déménager pour tenter leur chance ailleurs. C’est une perte de richesse incalculable pour la communauté nationale.

L’affaire Alstom-General Electric vient de loin. Car le discours fataliste des libéraux ne doit pas dissimuler une réalité concrète : la désindustrialisation en France n’est pas une catastrophe naturelle. Elle est le produit de priorités politiques, de choix délibérés en haut lieu qui sont la cause première du désastre social que subissent ceux qui n’ont que leur travail pour vivre. De ce point de vue, le cas Alstom-General Electric est un cas d’école : l’abandon par l’Etat de notre fleuron Alstom a rendu possible la liquidation des emplois chez General Electric.

L’Etat, ici, a un nom : Emmanuel Macron. Car depuis le début de l’affaire, tous les fils mènent à l’actuel président de la République qui a agi avec persévérance… contre nos intérêts nationaux.

Printemps 2014 : le jeune secrétaire général adjoint de l’Elysée s’oppose d’une formule lapidaire à la proposition d’Arnaud Montebourg de nationaliser Alstom pour éviter de brader le groupe au géant américain qui a fait une offre : « On n’est quand même pas au Venezuela ! ». C’est la ligne Macron qui l’emporte à l’Elysée. Cette option satisfait en réalité tous les libéraux, jusqu’au maire LR de Belfort qui applaudit des deux mains.

Avant cela, à l’automne 2013, le même Emmanuel Macron commanditait un rapport secret au cabinet américain A.T. Kearney qui détaille le scénario du démantèlement du groupe français et recommande que Bouygues cède les parts qu’il détient dans Alstom à… General Electric. Devant la commission d’enquête parlementaire, M. Macron ose soutenir pourtant que l’Etat a été « mis devant le fait accompli » ! Dans ce dossier, Alstom et Bouygues ont le même banquier, la maison Rothschild, employeur d’Emmanuel Macron jusqu’en 2012.

4 novembre 2014 : arrivé entretemps à Bercy, Emmanuel Macron signe l’accord du gouvernement pour la cession au groupe américain. La logique du circuit court prévaut : celui qui fut le promoteur de l’opération a eu le privilège de la valider…

28 mai 2015 : le ministre de l’économie se rend à Belfort pour rencontrer les salariés d’Alstom Transport et leur déclare : « Votre activité a une importance stratégique pour la France et sera donc défendue ». Cette déclaration n’empêche pas le volte-face deux ans plus tard : fraichement élu président de la République, Emmanuel Macron soutient la vente du groupe français à l’Allemand Siemens en prétendant bâtir un « airbus du rail ». Mais la commission européenne met un terme à ce projet en février 2019 pour éviter une position monopolistique. L’arroseur arrosé.

Juin 2018 : General Electric, qui avait assorti l’acquisition d’Alstom énergie d’une promesse de création de 1000 emplois en France, annonce finalement que cet engagement ne sera pas honoré. Le gouvernement de M. Macron répond qu’il restera « vigilant » !

Printemps 2019 : Prétextant un effondrement du marché des turbines à gaz, le groupe américain décide d’une restructuration et programme les annonces pour le 30 avril, qu’il repoussera à deux reprises, sous la houlette du nouveau directeur général qui vient d’être nommé et qui n’est autre que l’ancien conseiller d’Emmanuel Macron au ministère des finances, Hugh Bailey… Ultime arrogance, la suppression des 1050 emplois intervient tranquillement 48 heures après un scrutin européen décisif pour le parti du président.

Un tel scénario relève du thriller hollywoodien. Comment un chef d’Etat a pu couvrir, encourager, justifier, organiser un tel désastre ? A chaque étape, à chaque échelon des chaines de décision, Emmanuel Macron n’a pas seulement laissé faire, il a agi de façon délibérée en bradant des technologies décisives (et l’ensemble des brevets) pour notre indépendance nationale : les turbines Arabelle qui équipent nos centrales nucléaires, le propulseur du porte avion Charles de Gaulle ou encore les turbines de nos quatre sous-marins nucléaires sont désormais sous bannière américaine !

Aujourd’hui, le plan de licenciement dans la division Gas Power de GE est assorti de mensonges éhontés. D’une part, GE a enregistré en 2018 le plus grand nombre de commandes de turbines à gaz. D’autre part, la consommation de gaz dans le monde ne cesse d’augmenter. De surcroit, la complémentarité de ces turbines avec les énergies renouvelables est attestée. Enfin et surtout, les activités produites à Belfort ne sont pas, contrairement à la communication officielle du groupe, supprimées, mais relocalisées pour partie aux Etats-Unis et délocalisées en Inde, au Mexique et en Hongrie.

Dans cette affaire, les intérêts des salariés du site et ceux de la Nation se confondent.

Pour les salariés comme pour la Nation toute entière, le président de la République a aujourd’hui le devoir de mobiliser tous les moyens de l’Etat pour réparer les fautes qui procèdent de sa responsabilité personnelle.

Tribune publiée dans Marianne que vous pouvez retrouver ici.

Par Jean-Luc Laurent, Président du MRC


En tant que Président du Mouvement Républicain et Citoyen j’ai signé l’Appel des 113 lancé par le Comité Laïcité et République appelant à ne pas modifier la loi de 1905 concernant la séparation des Églises et de l’État.

Par cette loi fondatrice, l’État se déclare aveugle à toute distinction entre les cultes, entre les citoyens en fonction de leur culte et fait de cet aveuglement volontaire l’un des piliers de l’universalisme républicain qui l’anime. Il se borne ainsi à donner un cadre légal général aux cultes.
Cet acte de séparation est un acte libéral en son sens premier, et il est surprenant de voir aujourd’hui Le Président de la République, pourtant libéral revendiqué, vouloir remettre en cause ce pilier de l’unité nationale et menacer ainsi l’édifice social.
 
Emmanuel Macron se trouve face à un choix insoluble : soit il modifie la loi dans un sens concordataire et ce faisant assène un coup de boutoir à l’un des fondements républicains de l’État, soit il modifie la loi pour donner à l’État plus de pouvoir face aux cultes et ainsi menace la frontière stricte érigée entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel. 
 
La loi de 1905 dans sa forme actuelle, équilibrée et juste, est la meilleure gardienne de cette frontière. Les croyances religieuses doivent demeurer dans la sphère privée. Le Président doit se souvenir du célèbre passage du Nouveau testament que relatent Jean, Luc et Marc « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. ».

 
Nous nous opposons aux modifications de la loi de 1905. 


Retrouvez ci-dessous le texte de l’appel, ici le lien pour signer et faire signer vers la pétition, et ici le lien vers l'appel publié par le journal Marianne
 

Appel Des 113 by on Scribd


 


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I Publié le Jeudi 13 Décembre 2018 par Mouvement Républicain et Citoyen


Position commune de l’APRÉS et du MRC suite aux annonces d’Emmanuel Macron le lundi 10 décembre 2018


Emmanuel Macron ne répond pas à l’urgence sociale économique et démocratique !
Emmanuel Macron a dû pour la première fois lundi soir concéder aux Français une forme de reculade. On le doit à une mobilisation inédite.

Le Président a tenté de surfer sur certaines revendications des « gilets jaunes » pour en réalité faire des annonces trompeuses, qui témoignent d’une autre forme de mépris ; nos concitoyens ne doivent pas se laisser abuser. Le gouvernement ne change pas de cap. Il maintient ses choix libéraux se refusant à redistribuer les richesses, à augmenter les salaires et soutenir le pouvoir d’achat de l’ensemble des couches populaires et moyennes. Il n’y a en réalité aucun tournant social et, de surcroît, il met à mal la sécurité sociale et les services publics.
Regardons clairement les quatre « concessions » qui auraient été consenties :
  1. L’augmentation de « 100 € pour les salariés au SMIC » n’est pas une hausse du SMIC. Une hausse du SMIC constitue une vraie revalorisation des salaires, car elle s’applique non seulement aux salariés à taux plein mais aussi à temps partiel. L’augmentation du SMIC a en général un effet sur l’ensemble de la grille salariale – en tout cas pour les salaires bas et moyens – et compte pour le calcul des retraites. Les Français ont par ailleurs clairement exprimé qu’ils veulent être rémunérés dignement pour leur travail, pas que l’État leur fasse l’aumône, sans que les entreprises assument leur responsabilités économiques. Ces 100 € (sans négliger que cette somme, si elle est réellement perçue par certains foyers, ne sera jamais accessoire) se décomposent ainsi :
    1. l’augmentation légale du SMIC au 1er janvier 2019 de 1,8% au niveau de l’inflation. Elle aurait été de toute façon mise en œuvre à la même date (environ 21 €) ;
    2. l’anticipation des augmentations déjà programmées pour avril 2019, octobre 2020 et octobre 2021 de la prime d’activité (qui doit être demandée et n’est pas versée automatiquement). Ces augmentations ne mettent pas à contribution les entreprises seront financées par prélèvement sur le budget de la sécurité sociale. Or la prime d’activité est versée en fonction de la situation sociale du foyer et ne touchera donc pas tous les salariés au SMIC. Par ailleurs, la prime d’activité ne touche pas les salariés à temps partiels gagnants moins de 296 € ;
  2. La fin de la hausse de la CSG pour les retraités touchant moins de 2000 € ne concernera que l’année 2019. En réalité, ne seront concernés que les retraités célibataires dont l’ensemble des revenus (et non les seules pensions) est inférieur à 2000 € ainsi que les couples dont les revenus sont inférieurs à 2750 €. En revanche, les retraites ne seront toujours pas indexées sur l’inflation (1,8%), leur revalorisation restera bloquée à 0,3% ; en conséquence, tous les retraités continueront à perdre 1,5 points de pouvoir d’achat par an et cela sera cumulatif, engageant un vrai recul des retraites en France. Le Président a d’ailleurs pris soin d’annoncer qu’il poursuivra la réforme des retraites, ce qui n’augure rien de bon.
  3. La prime de fin d’année versée par « les employeurs qui le peuvent » : promesse de Gascon puisque le Président de République compte sur le volontariat ; il y a fort à parier que l’immense majorité des salariés en PME n’en bénéficiera pas. De plus, le versement aléatoire de ces primes sera défiscalisé et désocialisé, ce dont pâtiront les recettes de l’État et de la sécurité sociale. Ce sont tous les salariés, les PME qui devront payer ces cadeaux aux entreprises allant bien qui devraient assumer cette prime d’autant qu’elles touchent déjà le CICE !
  4. Les heures supplémentaires défiscalisées : ceux à qui on accordera des heures supplémentaires seront sans doute contents, mais rappelons un instant qui octroie les heures supplémentaires… a-t-on déjà vu un employé exiger et obtenir parce qu’il les avait exigées de son patron des heures supplémentaires ? Là aussi, défiscalisation et désocialisation veut dire que c’est la sécurité sociale et nos impôts qui paieront le prix alors même que la mesure aura en soi un effet négatif sur la création d’emploi.
 
Mais il y a aussi un grand silence et la poursuite de décisions injustes, très pénalisantes pour un très grand nombre de nos concitoyens :
 
  1. La non indexation des minima sociaux, du point d’indice de la fonction publique, des retraites. C’est un grave recul de leur pouvoir d’achat ;
  2. Rien pour combattre l’injustice fiscale et, en premier lieu, rien sur le rétablissement de l’ISF, la réduction et mise sous conditions du CICE, et encore moins pour créer de nouvelles tranches à l’impôt sur le revenu. Ce ne seront pas les « riches » qui paieront. Tout juste Emmanuel Macron évoque l’idée de faire payer les multinationales et demander un effort à ses amis les plus fortunés qui seront bientôt consultés. On attend de voir mais chacun comprend bien que cela ne sera pas à la hauteur des dépenses annoncées.
  3. Rien pour réduire la fracture territoriale mais, au contraire, en insistant sur le maintien du déficit budgétaire dans le cadre européen, le gouvernement veut poursuivre et amplifier la baisse des dépenses publiques, qui pénaliseront lourdement les services publics, notamment de proximité.
  4. Aucun message à la jeunesse et en particulier aux lycéens qui a leur tour se mobilisent…
  5. Silence radio sur la transition énergétique et une nouvelle méthode pour la réussir.
 
En réalité, Emmanuel Macron est un président dépassé et débordé qui tente en catastrophe de colmater la brèche tout en maintenant un cap qui va contre l’intérêt de la grande majorité des Français et l’avenir de la France. Cependant il vient de montrer qu’il n’était pas invincible. Il est clair qu’on ne peut en rester là, que les préoccupations des Français méritent d’autres réponses ; c’est la raison pour laquelle il est fort probable que la mobilisation ne va pas cesser… C’est en tout cas aux Français mobilisés qu’il appartient de dire quelles suites et quelles formes ils entendent donner au mouvement : nous soutiendrons les décisions qu’ils prendront dans le respect du cadre républicain.

Lundi soir, le Président de la République a tenté une nouvelle fuite en avant en annonçant des consultations locales pour un prétendu « nouveau pacte avec la Nation ». S’il a vraiment conscience qu’il en faut un, alors seul le peuple peut le ratifier ! Il faut un vote des citoyens.
 


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Président du MRC
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