La Fédération

par MRC 69 le Vendredi 1 Janvier 2016 à 13:21


Le MRC Rhône vous souhaite une excellente année !


Nouvelle Année 2016
Le MRC Rhône vous souhaite une excellente année 2016 !
Qu'avant tout le combat pour la démocratie et pour la défense de l'Etat-Nation providentiel connaissance de meilleures réussites qu'en 2015 !
Qu'également la santé de tout votre entourage se porte bien et que la votre, évidemment, soit de même.
Que Fortune embrasse tous vos projets, républicains bien sûr...

La Fédération

par MRC 69 le Jeudi 8 Octobre 2015 à 21:29


Soirée collage pour une poignée de militants du Rhône
Mardi soir, nous étions une poignée de militants à oeuvrer afin d'occuper en règle les panneaux d'affichages publiques dans les rues de Lyon.
Pour réaffirmer notre exigence républicaine et démocratique aux citoyens électeurs.

La Fédération

par MRC 69 le Lundi 21 Septembre 2015 à 21:48


Une analyse sur le contexte géopolitique au Proche-Orient et un appel à la communauté internationale pour une intervention de poids afin de neutraliser enfin Daesh.

La situation au Proche et au Moyen-Orient est largement au-delà du seuil critique. Et une telle situation ne date pas seulement de ces quelques mois. Le chaos qui y règne couvait depuis plusieurs années déjà. Il en incombe essentiellement aux puissances internationales, Etats-Unis, pays européens, Chine, Russie et autres, qui pouvaient avoir largement les moyens d’anticiper cette crise. Le monde entier se dit choqué par les images qui nous parviennent depuis quelques temps. Moi, je suis choqué de savoir que cette situation pourrait être réglée dans un court ou moyen terme et que les détenteurs du pouvoir au sein des grandes puissances mondiales préfèrent jouer la politique de l’autruche. L’ONU n’est pas en mesure de réagir.
Cela me rappelle un vague souvenir lorsque dans les années 1930, face à la montée du fascisme, la communauté internationale regroupée au sein de la Société des Nations préférait serrer les mains des dictateurs fascistes, auteurs, jusqu’ici, du plus effroyable projet de destruction de l’Humanité.
Si nous ne faisons rien, ce ne sont pas des centaines de milliers de migrants qui viendront à nos portes, mais c’est Daesh lui-même qui nous menacera directement à l’intérieur de notre territoire.
 
Cette crise, ce problème doit être pris à sa source. La France doit être à l’initiative, comme membre du conseil de sécurité de l’ONU, d’une conférence sur la situation géopolitique de la Syrie réunissant les USA, la Russie, l’Iran et le gouvernement syrien. Il s’agit bien de traiter politiquement, à la source, les causes politiques de la crise qui secoue actuellement le monde entier. La Russie a toute sa place, de par ses liens géopolitiques avec la Syrie, dans la résolution de ce conflit.
Ne réitérons pas l’erreur faite en Libye qui n’a amené que le fractionnement tribal d’un Etat ; ce pays faisant désormais office de dépôt d’armes et de camp d’entrainement pour djihadistes du monde entier.
 
Qu’attendons-nous pour mobiliser la communauté internationale ? La France, 5e puissance mondiale, doit tenir son rang dans la communauté internationale et au sein de l’OTAN. Les frappes aériennes contre les positions terroristes sont bien entendu utiles, mais ce n’est pas la seule solution.
Il est devenu nécessaire, et depuis le début de cette menace, d’intervenir directement, sur le terrain  et avec force contre ces arriérés qui osent vouloir imposer leur vision bien particulière d’un monde qu’ils croient devoir à leurs bottes. Cependant, il ne peut y avoir d’intervention sur le terrain que sous l’égide d’un mandat de l’ONU permettant de coordonner une offensive directe sur le terrain, susceptible d’ouvrir une négociation politique : la Russie et l’Iran ont la clef d’une sortie de crise qui ne reproduise pas le chaos laissé en Irak après le départ de l’armée américaine.
L’Union Européenne n’a pas de politique de défense et seules la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne ont les capacités et les moyens d’avoir une force militaire d’intervention. La France reprendrait, par son implication politique dans la résolution du conflit syrien, une partie du leadership européen.
 
La France combat seule depuis des années déjà face à cette menace postée à l’extérieur et qui ne demande qu’une seule petite brèche pour pouvoir s’introduire en territoire ennemi. Notre armée est à bout de souffle. Nous ne devons plus supporter seuls le poids d’une intervention militaire certes coûteuse mais vitale. Nous n’en aurons tout simplement pas les moyens, humains, matériels et financiers. Si l’argent est le nerf de la guerre, et bien que les grandes puissances se mobilisent ne serait-ce que pour un petit coup de pouce. Il serait le bienvenu…
 
C’est pourquoi j’appelle la communauté internationale à opérer une vraie réaction, déterminante, et pas seulement d’indignation, pour que nous puissions voir l’avenir d’une manière plus sereine qu’il ne l’est possible aujourd’hui.
 
Thomas Pascual

La Fédération

par MRC 69 le Dimanche 6 Septembre 2015 à 09:07


Intervention de Martine SOUVIGNET, secrétaire nationale du MRC, à la table ronde de l'université d'été du Parti Communiste.


L’Union européenne s’est construite sur un triple déni 
 

  Déni de démocratie, déni de prospérité et déni de souveraineté : référendum de 2005, le NON à la Constitution européenne majoritaire en France, en Irlande, aux Pays Bas…

  C'est l’Europe du chômage et de la désindustrialisation, alors qu’en 1992 on nous promettait 4 millions d’emplois en plus… -

  L’écrasement du « printemps grec » pourtant issu du vote du peuple grec !

  Cette Europe libérale a été imposée aux peuples par des institutions technocratiques alors que les parlements nationaux perdaient des pans entiers de leur souveraineté législative, budgétaire et donc populaire…

  Il faut rappeler que depuis la ratification du TSCG en 2012, le budget de la nation est examiné à Bruxelles avant de l’être au Parlement français…

 

 

Changer d’Europe pour changer de politique en France

 

  Le MRC depuis une quinzaine d’années a travaillé, tambouriné sur cette nécessaire approche politique globale…  « Pourquoi parlez vous toujours de l’Europe ? » me disait-on… On commence à réaliser que la perte de souveraineté budgétaire impacte tous les choix internes…

  Le fameux critère des 3% du PIB comme limite au déficit, cela signifie amoindrissement de la politique sociale, diminution des dotations aux collectivités, alors même que la paupérisation de certaines populations s’est aggravée et que l’on aurait besoin que les collectivités relancent leurs investissements pour relancer la croissance.

  Pour sortir d’un tel cercle vicieux, il faut donc bien changer d’abord l’Europe pour changer en France…

 

 

Changer l’Europe pour «  sortir la France de l’ornière » écrivions nous avant même que la crise financière et économique de 2008/2009 n’ait donné toute sa mesure.

  Car l’austérité est partout en Europe, si l’on excepte l’Allemagne qui a imposé ses orientations politiques et économiques à travers les institutions européennes.

  L’Allemagne est redevenue une puissance économique via l’Euro-groupe, cette instance pas très bien définie, sans aucune légitimité politique et dont le leadership est maintenant incarné par le ministre allemand des finances Wolfgang Schauble. Celui qui vient de dire à nos amis grecs : « si à chaque élection, les règles changeaient, l’euro-zone ne pourrait pas fonctionner. ».

  J’étais à Frangy dimanche dernier et j’ai entendu le récit de Varoufakis des séances humiliantes de l’euro-groupe sous la férule de la droite allemande… et le silence de M.Sapin traduisant l’impuissance de la France sur laquelle nos amis grecs comptaient pour les appuyer.

  « L’Europe, maison commune est devenue cage de fer partagée… »

  Oui, il faut changer d’Europe, car l’approfondissement de l’Union Européenne par la monnaie unique ne conduit qu’à un renforcement des divergences : les pays de la zone Euro et à fortiori de l’Union n’ont pas les mêmes droits sociaux ni le même niveau d’industrialisation ; l’écart des salaires est patent ; la démographie est très variable et conditionne des besoins économiques différents. Le carcan de la monnaie unique n’a rien réglé.

  La zone euro est la seule région dans le monde qui ne connaît pas de reprise de la croissance.

  Pour le MRC, changer d’Europe c’est d’abord faire entendre haut et fort la parole de la France face à madame Merkel pour réviser le TSCG (promesse du discours du Bourget) la France, 5è puissance mondiale, 66 millions d'habitants

  La parole de la France que François Hollande aurait du faire entendre dès 2012, fort de son élection ! Mais la ratification du TSCG sans renégociation aucune a été le premier renoncement de la gauche gouvernementale, car il commande tous les choix économiques et sociaux du gouvernement depuis 2012…

  Car changer d’Europe, c’est oser un tête à tête politique avec l’Allemagne et ne pas se noyer dans des synthèses technocratiques à court-terme.

  Car l’Europe c’est aussi une affaire de rapports de force.

  C’est ne pas accepter l’éloignement de la Russie -quels que soient les défauts de son gouvernant actuel, Poutine- de l’Europe, et ne pas accepter de rentrer encore un peu plus dans la logique américaine, la logique de l’OTAN.

  C’est refuser cette Union Européenne post-démocratique qui donne une voix à chaque pays -la Lituanie, compte trois millions d’habitants-, cette Union Européenne qui écrase le printemps grec sous des exigences budgétaires, fiscales et administratives qui bafouent l’honneur du peuple grec et de ses représentants élus.

  Nous savons tous ici que les peuples ont une histoire, et la tradition de résistance du peuple grec est forte contre l’occupation de l'Allemagne nazie et contre la dictature des colonels. L’humiliation des peuples ne reste jamais sans réponse.

  Mais il y a de bonnes réponses et de moins bonnes… Le populisme et les extrêmes droites qui se renforcent partout en Europe nous le font comprendre chaque jour.

  Il y a donc urgence à changer l’Europe pour faire renaître une gauche républicaine, capable de porter les intérêts du peuple français avant qu’il ne se laisse majoritairement emporter par le discours du FN, car le FN se nourrit des renoncements de la gauche et de ses échecs !

  C’est pourquoi, sans prôner en rien un repli nationaliste identitaire, nous pensons qu’il faut maintenir, au sein de l’Union Européenne, l’existence des États-nations et de leur cadre législatif et réglementaire seul à même de faire face aux situations de crise que nous connaissons : pauvreté, migrations, déréglementation libérale de secteurs entiers de l’économie…

  En cela les députés du MRC ont voté contre la mise en place de grandes régions, voire euro-régions, qui affaiblissent les capacités d’intervention d’un État régulateur, protecteur, stratège, seul garant de l’intérêt général et de l’égalité des citoyens sur le territoire.

  Une France forte qui assume son intérêt national, forte de la légitimité populaire, peut parler franc et fort à l’Allemagne et la contrarier dans son penchant hégémonique. C’est ce qu’ont attendu en vain nos amis grecs de la part de la France.

 


Changer d’Europe, c’est changer les traités


  
  
Sortir du dogme de l’euro, 
car des alternatives sont possibles, et nul traité n’est éternel contre la volonté des peuples ;

  Les traités peuvent être modifiés par les pays de l’Union Européenne qui le souhaitent : ceux-là redéfiniraient ainsi un nouveau périmètre de l’UE.

 Une Europe remise sur ses pieds, ce serait une union intergouvernementale, des décisions prises à l’unanimité du Conseil, la réduction de la commission à un organe d’exécution, un parlement européen, émanation des parlements nationaux, la suppression de la cour de justice européenne (qui crée une jurisprudence supranationale) remplacée par un tribunal arbitral des conflits entre les Etats.

  Il conviendrait aussi de réviser les statuts de la BCE en fonction des objectifs économiques de la nouvelle Union Européenne.

 

 

Changer d’Europe pour changer de politique en France

 

  Pour le MRC, c’est envisager une sortie programmée de l’Euro monnaie unique, afin que les États-nations retrouvent leur souveraineté monétaire et budgétaire et puissent prendre en compte l’expression de la souveraineté populaire par le vote .

  Ainsi, nous pourrons ramener Le Citoyen au Politique alors qu’il se détourne depuis 2005 du suffrage universel non respecté ! Tout se tient !

  Sortir de la monnaie unique, c’est permettre que chaque État retrouve une monnaie correspondant à l’économie du pays pour ses échanges internes -l’euro drachme, l’euro franc-. Les parités seraient à redéfinir bien entendu. La politique de change serait confiée à la BCE. Mais chaque pays retrouverait sa souveraineté en matière de politique monétaire portant sur les taux d’intérêts et de sa masse monétaire. Chaque gouvernement retrouverait une capacité d’exercer des choix économiques.

  La sortie de la monnaie unique ne va pas sans l’instauration d’une monnaie commune pour les échanges extérieurs à l’Union Européenne, monnaie commune dont la valeur serait calculée sous la forme d’un système monétaire européen, panier des monnaies européennes alignées sur la valeur réelle des économies.

  Car il n’est pas possible de proposer une alternative à l’austérité sans remettre en cause la monnaie unique ! Au MRC, nous le proclamons depuis quelques années… et ce qui vient de se passer en Grèce en est hélas la preuve douloureuse. L’opinion publique commence à mûrir sur cette question…

  Cela peut sembler complexe mais il faut se mettre au travail pour sortir du dogme de la monnaie unique, pour construire une autre Europe respectueuse des nations et du vote des peuples !

  Un groupe de travail du MRC a travaillé à la révision des traités, c’est possible !

  Il est urgent d’anticiper et de reconstruire une autre Europe qui nous sorte du carcan libéral et post démocratique qui étouffe les nations et les peuples…Et nous travaillerons ainsi à la reprise en main de l’avenir de la France par son peuple : ainsi nous relèverons la Gauche avec la France , une gauche républicaine, sociale, attachée à la souveraineté de la France !

 

Martine Souvignet.

Secrétaire nationale du MRC, déléguée à la citoyenneté, l’égalité et la laïcité.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


La Fédération

par MRC 69 le Lundi 13 Avril 2015 à 16:22

Mots-clés : laïcité République

Dans un contexte international de tensions fortes et de guerres au Maghreb et au Moyen Orient, après les attentats de janvier 2015, le MRC doit réaffirmer la possibilité pour nos concitoyens musulmans de s’intégrer pleinement à la communauté nationale, c'est-à-dire à la République française.


   La France a les capacités d’intégrer les musulmans (les musulmans « sociologiques » dont le nombre estimé varie de 3 à 5 millions selon les sources)  comme elle a intégré dans son histoire les juifs ou les protestants ; plus de la moitié des musulmans de France sont de nationalité française ; aujourd’hui l’Islam est d’abord une religion de nationaux français avant d’être une religion d’étrangers. 
Les citoyens français issus de l’immigration musulmane, africaine et maghrébine adhèrent pour une grande partie d’entre eux aux valeurs de la République car  ils (ou elles) savent que, dans le cadre de ces valeurs, ils sont à même d’accéder aux responsabilités sociales, professionnelles, politiques dans notre société française.
   Leurs représentants, intellectuels, religieux, philosophes trouveront par eux-mêmes les modes d’adaptation d’un islam minoritaire dans un pays laïque afin de rendre compatible une pratique religieuse légitime avec le respect intangible des valeurs républicaines.
 
   La présence de l’islam, dernière religion monothéiste installée en France s’est traduite ces dernières années par un renforcement de sa visibilité dans les quartiers urbains en particulier : mosquées, tenues vestimentaires, femmes voilées, pratique du ramadan, débat sur la nourriture dans les cantines scolaires…
 
   Cette visibilité accrue a alimenté souvent le sentiment d’une menace sur l’identité française ainsi focalisée sur la question religieuse alors même que bien d’autres critères d’analyse peuvent expliquer cette perte d’identité ressentie par de larges couches de la population (y compris dans les territoires ruraux où l’islam est peu présent ) : affaiblissement de l’école publique et de son idéal d’émancipation, ralentissement de l’ascenseur social, marchandisation de secteurs entiers de la société, règne de l’argent roi, consumérisme sans oublier le dogme de libre concurrence instauré par des politiques européennes trans-nationales qui réduisent la présence des services publics porteurs d’égalité.
 
   En outre, il faut bien constater que les modalités progressives d’intégration   sociale et politique qui ont bénéficié à d’autres immigrations, depuis un siècle, par le travail et l’engagement syndical ont trouvé leurs limites du fait de la crise économique impitoyable et de la hausse du chômage à un niveau jamais atteint ; cette crise économique et sociale comme la  perte des valeurs de l’engagement collectif ont affaibli toutes les structures intermédiaires du pays. La disparition du service militaire obligatoire a participé du délitement des valeurs d’appartenance à la nation française, nation progressiste porteuse des valeurs de la Révolution française.
 
   Le sentiment de perte d’une identité nationale repose donc sur des critères socio-économiques multiples et ne peut s’expliquer par la seule présence visible de l’Islam de France.
 
   Le MRC a toujours prôné une meilleure connaissance réciproque entre l’Islam de France et la République, déjà lorsque Jean-Pierre Chevènement était ministre de l’Intérieur… En effet, c’est par la connaissance de l’histoire arabo-musulmane comme des principes fondamentaux de la République que les Français, quels que soient leurs choix religieux ou philosophiques, quelle que soit leur histoire familiale, pourront tresser ensemble l’identité de la France du XXIe siècle, en restant fidèles à l’esprit des Lumières dans la pratique d’une citoyenneté ouverte à tous dans une société laïque.
 
   Le MRC  revendique depuis plusieurs années la facilitation de l’accès à la nationalité française, seul chemin d’adhésion individuelle à la nation française. C’est en s’appuyant sur une pédagogie des principes  républicains comme sur la connaissance des libertés fondamentales qui organisent la société française que l’on permettra la complète implication des musulmans de France dans l’exercice d’une citoyenneté pleine et active ; cette citoyenneté reste synonyme d’engagement personnel, individuel, par le droit de vote et d’éligibilité. C’est ainsi que nous combattrons toute coercition communautaire dans la vie institutionnelle et politique de la République française.
 
   L’exemplarité des réalisations communales dans leur grande majorité, participe de cette intégration concrète de tous dans le « vivre ensemble » au-delà de certaines périodes critiques que nombre d’élu(e)s locaux parviennent à dépasser avec le soutien des militants associatifs et des institutions de la République.
 
   Il faut d’ailleurs noter que depuis l’élection municipale de 2008, la représentation de conseillers municipaux issus de l’immigration maghrébine et africaine de tradition musulmane est en augmentation sensible si l’on en juge par l’étude des patronymes des élus locaux conduite par l’Insee.
Ainsi, la République continue t-elle à intégrer peu à peu tous ses enfants…
 
   Le MRC se félicite de ce processus d’intégration qui est en cours depuis quelques décennies et perdure quels que soient les obstacles et les épreuves dans une période de crise et de tensions internationales.
 
   Loin de la crainte de l’islamisation de la société française entretenue par l’extrême droite, le MRC souhaite favoriser l’intégration institutionnelle et politique des citoyens issus de l’immigration et pour être  plus précis de nos concitoyens de tradition musulmane parce que nous sommes persuadés que l’Islam est compatible avec la modernité dans la République laïque.

   La laïcité, principe constitutionnel, valeur républicaine, reste l’outil d’accès à la citoyenneté car elle signifie la stricte égalité de droit entre les citoyens et citoyennes du peuple français.
 
   Le MRC  réaffirme  la force de la laïcité  comme un bien commun permettant l’expression des droits individuels. Les libertés fondamentales qui en découlent, liberté de conscience, liberté d’expression, égalité homme/femme, sont un socle solide pour l’intégration de tous les citoyens et citoyennes, quelles que soient leurs croyances religieuses ou philosophiques.

 Martine Souvignet
 Secrétaire nationale déléguée à l’Etat et aux collectivités territoriales.
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