Fédération MRC de Dordogne

La Fédération

par le Lundi 7 Décembre 2015 à 00:28


'4,8% des voix... pour quelques dizaines de voix nous ne pouvons participer au 2ème tour des régionales dans notre grande région.
C'est la fin de cette campagne électorale en collaboration avec le front de gauche. Nous devons analyser cette participation,
Il est trop tôt  pour faire le tour de la question, la progression du FN se poursuit, difficile de répondre à cette évolution irrationnelle.
Nous nous n'arrivons pas à entraîner une dynamique, le PS au pouvoir, duquel les citoyens semblent s'éloigner, nous entraîne
 dans sa chute et même semble protégé par notre chute.Ces quelques mots au sortir d'une soirée  de résultats avec l'équipe de campagne à Périgueux
Pour rebondir, il nous faut reprendre ce qui s'est passé là Communiqué de presse d'Olivier Dartigolles :
Le paysage politique au soir du premier tour de ces élections régionales est préoccupant et dangereux. La grève persistante des urnes – le sursaut civique après les attentats du 13 novembre n’a pas eu lieu – et la nouvelle progression du FN font franchir un nouveau palier dans une crise démocratique et politique nourrie de défiance, de dégout et de peur.
Tout cela est la conséquence directe de choix politiques désastreux qui épuisent les êtres humains et provoquent des dégâts considérables comme j’ai pu le constater dans la grande région Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes.
Dans un tel climat, le Front de Gauche et la liste « l’Humain d’abord ! » appelle à la résistance face à la droite et au FN et à la construction pour une alternative de gauche et de progrès. Il y a urgence.
L’absence du Front de gauche dans la future assemblée régionale n’est pas une bonne chose car elle ne permettra pas de faire entendre la voix de toutes celles et tous ceux dont les vies sont si durement attaquées par l’austérité.
Dans une telle situation politique, les militantes et militants du PCF, avec les organisations du Front de gauche, seront de toutes les batailles et de tous les rassemblements pour ne pas laisser notre pays et notre société aux mains des casseurs d’avenir.

François MAS
 

La Fédération

par le Jeudi 3 Décembre 2015 à 22:29


Plusieurs de mes amis m'ont demandé pourquoi, habitant Sainte Foy la grande, je suis candidat en Dordogne.
 Membre de la fédération de la Gironde du MRC, je me suis déclaré volontaire pour être candidat en mai dernier. Plusieurs amis girondins étaient également volontaire, je crois que nous étions 7, mais les différentes composantes de la liste avaient également des demandes il y aura finalement 2 MRC en Gironde : Benoit Tourne, coordonnateur pour la grande région et Marie Thérèse Dedieu, ancienne conseillère municipale de Libourne et à la CALI. Il n'y avait pas de candidat MRC pour compléter la belle liste de l'Humain d'abord en Dordogne alors, ayant fait plus de 90% de ma carrière professionnelle et la totalité de mon engagement syndical, en Dordogne, cette terre qui m'a accueilli avec ma famille de 1962 à 67, où je me suis marié, où je fleuris plusieurs tombes tous les ans : mon arrière grand mère (Port Ste Foy), mes grands parents (Vélines),..
En fait cette terre qui me nourrit depuis des années, je peux bien lui rendre un peu de ma passion...
Jean Luc Delcampo et Martine Fouquet sont également candidat en Charente Maritime
Voilà un peu ma démarche
François MAS

La Fédération

par le Vendredi 27 Novembre 2015 à 17:50


Ma petite contribution du jour : "Mesdames et Messieurs, le MRC s’est engagé dans cette campagne auprès du Front de Gauche dans notre grande région parce que, parti de gauche, il ne peut soutenir l’action du gouvernement.
Je voudrais m’adresser aux électeurs de gauche et parmi eux aux socialistes, qui comme nombre d’entre nous ont voté F Hollande, Leur sentiment de lâchage, de tromperie ne doit pas les entrainer vers un vote de haine de rejet que constitue le vote FN, ou se réfugier dans l'abstention. Je pense que notre équipe représente le projet de société qu’ils recherchent. Je vais me permettre de vous lire l’introduction de l’accord que J L Laurent notre président avait signé le 9 mars 2012 avec Madame Martine Aubry 1er s du PS, et vous comprendrez pourquoi nous avions contribué à l’élection de François Hollande. Extraits :
« La crise la plus grave que le monde ait connue depuis les années 30, dans ses multiples dimensions - financière d’abord, économique, sociale mais aussi politique et morale - n’épargne ni la France ni l’Europe à qui notre destin est lié. La crise de la globalisation financière fait trembler sur leur fondement les vieilles certitudes, celles d’un progrès social qui était acquis et avec elles la tentation de croire que nous pourrions tourner le dos au monde réel.
Quel est ce monde ? Le triomphe du capitalisme spéculatif et prédateur, fait incontournable, résulte de trente ans de libéralisme sans frein, fruit des politiques de dérégulation menées par les gouvernements libéraux et conservateurs qui ont favorisé la finance et la rente plutôt que le travail. Loin d’avoir affecté les pays émergents, en premier lieu la Chine dont le développement économique formidable s’appuie en bonne partie sur un faible coût salarial, cette « révolution conservatrice » a fait régresser aussi bien les pays les plus pauvres, atteints de plein fouet par la spéculation sur les terres et les matières premières, dépouillés de leurs élites et d’une partie de leurs travailleurs attirés par un monde meilleur, que les couches populaires et moyennes des pays riches du continent américain et de l’Europe qui ont vu leurs richesses industrielles disparaitre à coup de délocalisations et de transfert du pouvoir vers les élites financières, sur fond de démission du pouvoir politique. La surévaluation de l'euro handicape les exportations et les PME, favorise la finance et la rente plutôt que le travail. Le problème lancinant du développement des peuples, non réglé par le 20e siècle qui en avait pourtant fait un objectif universellement reconnu, les guerres et le terrorisme, l’idéologie du prétendu choc des civilisations, la question de la dégradation du climat, la régression de la conscience collective, des valeurs non marchandes, et du sens du progrès, du goût pour la science et la raison éclairée, la montée des obscurantismes et des fanatismes, la régression de l’esprit civique font aussi partie de ce legs que le 21e siècle doit aborder les yeux grands ouverts….
Parce que acteur de terrain, tant professionnel que syndical, associatif passionné de la vie de la cité, je me suis engagé au MRC dominé tant par le besoin de débattre que de proposer et mettre en place. Je me suis mis à la disposition de notre belle liste l’humain d’abord » en Dordogne au côté de Laurent Péréa notre tête de liste départementale et de Olivier Dartigolles, pour la grande région. Ils se démènent comme des beaux diables en dépit d’une difficulté à être relayés par la presse, avec tous les candidats et tous les militants de nos différents partis que je salue ce soir. Rejoignez notre combat, soyez nos étendards. Vous connaissez notre engagement auprès de vous, au travail ou dans la vie de tous les jours, nous ne sommes pas des candidats hors sol. Les 6 et 13 décembre, votez, faites voter pour la liste « L’Humain d’Abord »". François MAS

La Fédération

par le Vendredi 27 Novembre 2015 à 01:26


Nous étions près de 400 à Boulazac autour des candidats de Dordogne, avec Laurent Péréa tête de liste Dordogne et Olivier Dartigolles tête de liste de la région
Nous étions près de 400 à Boulazac autour des candidats de Dordogne, avec Laurent Péréa tête de liste Dordogne et Olivier Dartigolles tête de liste de la région

La Fédération

par le Jeudi 19 Novembre 2015 à 23:25


La dette par le petit bout de la lorgnette
Publié le 18/11/2015 • Par Auteur associé • dans : Billets finances, France, Opinions
Jean-Luc Laurent maire du Kremlin-Bicêtre, député du Val-de-Marne et président du MRC et Bastien Faudot, Conseiller municipal de Belfort, conseiller départemental du Territoire de Belfort.
 Pour les auteurs de cette tribune, toute la logique libérale de Bruxelles se lit dans cette "recommandation" à la France :
 
« Le contrôle des dépenses des collectivités locales devrait être renforcé, y compris en plafonnant l’augmentation annuelle des recettes fiscales des collectivités locales tout en mettant en œuvre de façon rigoureuse la réduction prévue des dotations octroyées par l’Etat. »
A Bruxelles, voilà ce qu’on appelle pudiquement une recommandation à la France, dans le cadre de la supervision et de la mise en œuvre du traité budgétaire européen. Toute la logique libérale y est inscrite, en associant pêle-mêle, dérégulations, libéralisation, dépeçage du service public, fusion des régions et cure d’amaigrissement pour les collectivités.
C’est d’ailleurs cette orientation de politique économique qui conduisait le candidat François Hollande à refuser, en janvier 2012, la signature du maudit traité négocié par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, avant de le ratifier tel quel à l’automne 2012.
Aujourd’hui, les critiques virulentes de la droite contre les baisses de dotations sont essentiellement des postures de circonstance. D’une part, parce que, comme le PS, la droite a approuvé le traité européen qui contient les choix politiques contre lesquels elle feint de se dresser aujourd’hui. D’autre part, parce que l’UDI et l’UMP proposaient des plans d’économie respectivement de 80 et 130 milliards d’euros en janvier 2014, considérant celui du gouvernement notoirement insuffisant !
Les élus locaux et les maires se sont mobilisés le 19 septembre dernier à juste titre contre le désengagement de l’Etat. Et ils ne se laisseront pas abuser par une tentative de récupération toute politicienne.
L’obsession européenne pour l’austérité budgétaire
Aujourd’hui, ce sont donc pour une grande part les communes, pourtant l’ultime échelon politique à bénéficier de la confiance des citoyens, qui vont voir leurs dotations réduire d’un tiers. Compte tenu des volumes concernés, les exécutifs locaux vont devoir choisir entre plusieurs options : augmenter la fiscalité locale, sacrifier des services à la population, réduire les investissements à la portion congrue, ou bien recourir à l’emprunt et augmenter l’encours de leur dette !
 
Faire payer l’obsession européenne pour l’austérité budgétaire par les collectivités locales est injuste et absurde. Le problème du déficit public aujourd’hui vient moins du standing de vie des puissances publiques (locales comme nationale) que de la dynamique en termes de recettes, qui s’est effondrée avec la stagnation économique.
Le retour au plein-emploi générerait à lui seul suffisamment de recettes pour équilibrer les comptes de la Nation, sans même parler de la lutte contre l’évasion fiscale (50 milliards de recettes qui s’évaporent chaque année) ou encore le nettoyage des niches fiscales (qui pèsent chaque année près de 75 milliards à l’Etat).
Bercy est devenu le ministère de la comptabilité qui exécute sans ciller les injonctions nocives de Bruxelles. L’approche de la bureaucratie libérale européenne est une façon de prendre la question sérieuse des déficits publics par le plus petit bout de la lorgnette. C’est en quelque sorte cette même logique qui a conduit la Grèce dans l’aggravation de la crise de sa dette : est-ce un dessein enviable pour nos collectivités ?
 
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